[L'élite] Camp d'entrainement

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

Dimanche 7 juin, 20h11
Près des ruines de Caen,
Centre d'entrainement et de recrutement des armées humaines, France

Le major Swarf se prépare à diriger sa première troupe, il les entrainera, il leur apprendra la vie et la guerre, il leur enseignera son art du combat.
Pour sa toute première fois, il est très tendu et tente de se calmer en mangeant comme quatre à la cantine du centre, au menu: boulettes de viande et pâtes au sel.
Les jeunes gens motivés pour entrer dans le corps d'armée humain seront là dès ce soir pour certains, les convois ont du mal à circuler en cette période !
L'heure d'arrivée des nouveaux à sonnée, ils descendent des camions, se rangent en ligne et attendent les consignes du chef.
Swarf s'avance alors et fait le traditionnel appel ! Sur sa fiche il ne voyait pas de novices, mais des soldats ayant tous plus ou moins d'expérience, chacun ayant déjà été formé !

_Bien messieurs je vois que vous n'êtes pas à votre première fois chez les patrons de la guerre, je vous en félicite, mais ici pour tout le monde ce sera "retour à zero" car le chef ici c'est moi ! Vous allez passer deux grosses semaines avec moi, avec vos camarades de gauche et de droite, avec cette herbe, avec ces murs ! Installez vous bien ici, et accrochez vous !
Prenez chacun un sac et les affaires nécessaires, ensuite allez aux dortoirs choisir vos lits, et on se rejoins dans une heure à la cantine. Aller c'est parti !

Les soldats prennent donc leurs affaires, choisissent leur arme de base et enfournent leurs prochaines rangers, en faisant attention à ne rien oublier ! Ils savaient tous qu'ils étaient peut être les futurs soldats de l'unité spéciale anti-robot, la concentration était déjà là !

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

[HRP --->

[ Camp d'entrainement ]

---> Swarf a donné les premières consignes, on attend la suite !

_Lieu: Centre d'entrainement et de recrutement des armées humaines
_Temps estimé: Deux semaines
_Perso' RP présents: Ridalmodo; Woolsey; Dwesza; Parlaoupariski; Herdwann
_Actions des joueurs: Chacun se présente aux autres, dans les dortoirs, quand vous choisissez vos lits

Aller c'est parti !

<---- Fin HRP]

- Tu parles...pire que si on était des bleusailles, qu'il nous a parlé.

Herdwann jeta son sac au pied du premier lit à droite en entrant dans le dortoir. Il avait parlé d'une voix basse, et fronçait les sourcils, une moue désappointée peinte par les lèvres.
S'approchant du lit, il jeta un coup d'œil à la fenêtre du bout de la salle, et tira les drap, les mettant rapidement au carré. Puis il s'assit dessus doucement, regardant les quatre autres hommes. Un peu gêné, il lança, en français:

- Bon, bah... Puisqu'on va se côtoyer durant un certain temps, messieurs... Je suis le Sous-Capitaine HERDWANN Roman. J'suis Français, et j'appartiens à la première division aéroportée des FAS, 1220ème compagnie... Puis, bah, je suis tireur d'élite.

Il rougit un peu. Herdwann était un jeune homme d'environ 25 ans, mesurant exactement un mètre cinquante-sept, et pesant cinquante-trois kilos. Sa peau était blanche, peu bronzée; ses cheveux coupés courts, son petit bouc et sa fine et petite moustache étaient noirs de jais; et il avait des yeux d'un marron profond. Pour l'heure, il portait une paire de rangers brunes, et un uniforme sans distinctions d'unité ou de grade, vert clair et sans différences de coloris, avec une ceinture large noire. Il ressemblait à n'importe quel soldat de n'importe quelle armée. A son poignet, une montre noire multi-fonction et étanche, qui indiquait pour l'instant l'heure française, c'est-à-dire 20 heures 28.
Toujours gêné, il tourna le dos au mur donnant sur le couloir par lequel ils étaient arrivés, et jetant de fréquents regards aux autres, il ouvrit son sac et commença à sortir diverses affaires, les rengeant peu à peu dans l'armoire à côté du lit: trois uniformes vert-de-gris, sans distinctions sinon le nom et l'initiale du prénom sur un scratch; deux paires de bottes noires impeccablement cirées; des sous-vêtements noirs; deux pyjamas gris; une paire de patins gris; une trousse noire et fermée, où se trouvait un petit nécessaire: dentifrice, brosse à dents, etc.

Il se releva, regardant toujours les quatre autres personnes, et son sac était toujours à moitié remplit. Les armes dont il disposait étaient enfermées dans plusieurs valises noires rigides à son nom, dans l'armurerie du camp.

Messages : 719 Date d'inscription : 07/09/2008 Age : 36 Localisation : Calais

Remise à zéro, pfff tu parles, j'en connais surement plus que toi ...

Roman Ridalmodo, écouta donc les ordres du Major et les exécuta. Il sortit des rangs, ramassa ses affaires et prit la direction du dortoir. Il été précédé d'un homme, plutôt petite qui prit le premier lit. Roman se résida donc a prendre celui près de la fenêtre, posa son sac a coté de sa penderie, et alluma une cigarette qu'il fuma au rebord de la fenêtre.

Au bout de quelques secondes, son compagnon de fortune et futur frère d'arme se présenta. Un homme de petite taille, très mince, a l'inverse de lui même, qui du haut de son mètre quatre vingts dix pour ses 95 kilos apparaissait comme un beau bébé adepte des salles de musculation.
Roman hocha légèrement la tête une fois que son camarade eut terminé.

Il croisa les jambes, se cala contre la fenêtre est se présenta a son tour :

Je me nomme Roman Ridalmodo....et oui nous avons le même prénom, dit-il en regardant le Sous-Capitaine, mais vous pouvez m'appeler Rom.
J'ai dirigé plusieurs sections d'élite avant mon arrivé, malgré mon jeune age, mes talents sur le champ de bataille en matière d'explosif et de sniper mon fait grimper les échelons rapidement.

Tout en terminant sa cigarette qu'il balança par la fenêtre, il posa ses affaires sur son lit. Il y avait son sac, un carton ou l'on pouvait lire " explosif " et deux valises noires, telle des valises pour y ranger des queues de billard, mais légèrement plus grande.

Il ouvra l'une d'entre elles tout en regardant son compagnon, et sortit en plusieurs morceaux un fusil de précision.

Cette bête la, c'est un M-21, c'est mon jouet a moi, dit il tout en l'assemblant, je vois que tu es tireur d'élite également, on se fera quelques cibles demain si tu veux bien... continua-t-il en terminant de l'assembler.

Et ça......c'est ma spécialité, poursuivit Roman en ouvrant son carton. Il y a de tout, du c4, grenade a fragmentation, mais également des bombes au graphite de petite tailles, idéales en mission d'infiltration.... enfin, vous verrez comment sa marche en temps voulut !

Rom s'allongea sur son lit, les mains croisés derrières la têtes, en observant ses camarades, attendant que ces derniers lui succède pour se présenter à leurs tours.

Après avoir écouté le discours clair, net et précis du major Swarf, Alexeï Parlaoupariski, ex-colonel de l'Armée Rouge et ex-agent de la police politique russe, se dirigea vers les dortoirs avec les autres membres de cette joyeuse compagnie.
Certainement aussi ennuyés que lui par ce discours qui les fit passer de gradés à soldats de seconde classe, les autres soldats se présentèrent. Pour l'instant la compagnie comptait donc deux snipers, français d'après leur parler.
Alexeï entra donc à son tour, marchant de travers, sa bouteille de vodka à la main, son sac dans l'autre. Parlaoupariski était musclé, à l'image du sniper français qui s'était précedemment présenté, il passa devant les deux soldats ne leur adressant ni la parole ni un regard. Il jeta son sac sur le lit du fond du dortoir, à l'écard des autres soldats, ensuite il sortit de ce même sac un poste radio et un CD de sa chanteuse préférée: Patricia Kaas. Il trouva une prise à proximité de son plumard puis mis en route le poste d'où l'on pus entendre la sublime voix de la française.

Après cela, il posa sa bouteille sur sa table de nuit et rangea ses uniformes dans la petite armoire prévue à cet effet. A côté de cette armoire se trouvait une caisse en bois sur laquelle on pouvait lire: "Parlaoupariski, armement". De cette caisse il sortit un équipement varié, tout d'abord divers sortes de couteaux tous plus impressionants les uns que les autres. Puis avec un sourire sadique il les disposa par taille sur son lit, il sortit de son sac une cible avec le drapeau américain incrusté ( la bonne vieille rancoeur américano-soviétique!).
Puis finalment après avoir jeté un coup d'oeil derrière lui, il vit les regards suspicieux des autres soldats se concentrer sur lui, il se présenta:

Bonjourr camarrades! Je me prrésente à vous. Je suis Alexeï Parrlaouparriski, ex-colonel de l'Arrmée Rrouge et ex-agent du KGB, j'ai 47 ans et ce que j'aime moi, c'est dérrouiller les méchants!

Avec le gabarit du russe, on pouvait s'en douter, en effet, le mastard devait bien pesé ses 90 kilos pour 1 mètre 80, sa musculature saillante agrandissait son marcel. La musique n'avait pas l'air de déranger plus que ça les autres soldats, pas plus que les nombreux cadavres de bouteilles dans son paquetage ( en tout cas c'est ce qu'il pensait).
Alexeï était un fin psychologue et un grand philosophe avec pour exemple le plus grand philosophe de tous les temps: Jean-Claude Van Damme!
Alexeï avait des cheveux et une barbe en collier grisonnants, à sa ceinture, il y avait un couteau de chasse et un Colt NG 45. A son cou on pouvait distinguer une plaque militaire avec son nom de code dessus: "Tueur de méchants, parce que les méchants sont pas gentils!" ( tout cela en russe bien sûr!).
Le russe repris la parole:

J'aime Patrricia, pas vous?
Sa musique est rreposante! Si vous avez besoin de conseil en couteaux ou en mitrailleuse lourde, il montra sa caisse où dormait encore calmement sa Petrovski 540,dîtes le moi!

Il s'assit sur le lit de Roman Ridalmodo, sifflant sa bouteille de Vodka et écoutant avec attention la belle Patricia Kaas...

Messages : 460 Date d'inscription : 04/12/2008 Age : 29 Localisation : vannes

quel chieur ce major Swarf ... dommage que ce soit mon chef pour le moment sinon ...

Après le long et chiant discours du major Swarf, l'ex lieutenant colonel (pour le moment) Woolsey Mickel et ses nouveaux frères d'armes allèrent s'installer dans leurs nouvelle demeure, les fameux dortoir de l'armée. Woolsey Mickel était fier d'être la,il était un jeune soldat qui avait déjà fait ses preuves dans certaines opérations commandos, ce qui lui avait permis de monter en grade assez rapidement... bref il était d'origine américaine . Fier de ses origine il portait ses couleurs sur sont équipement de commando, bien astiqué car pour lui l'apparence comptait. Dés sont arrivé il avait remarquer qu'une personne en particulier le regardait d'un mauvais œil l'ex-colonel de l'armée Rouge et ex-agent du KGB , Alexeï Parlaoupariski , Mickel vit quand il se mit a sortir ses couteau tous aussi impressionnant que les autres, qu'il avait aussi une cible incrusté du drapeau américain et Mickel comprit tout de suite vus son age que Alexeï Parrlaouparriski avait en lui la bonne vieille rancoeur américano-soviétique!(ce qui ne le concernait pas puisqu'il avait tout juste 25 ans).Dans un grand blanc Mickel pris la parole :

SALUT LA COMPAGNIE!!!(d'un air vif), je me présente lieutenant colonel Woolsey Mickel des unités commando américaine, j'ai 25 ans et je suis content d'être avec vous, j'ai vu déjà des amateurs de vodka et de cigares ce qui me plaie déjà. Sinon ce que j'aime dans les opérations commando ce sont les effets de surprises.

Après quelques répliques de ses nouveau camarades il reprit:

Sinon mes armes favorites sont fusil d'assault, P90, M4 navy commando ou alors Famas, grenade en tout genre

Puis il sortit comme tout le monde sa mallette avec tout ses petits joujoux et ils firent tous des commentaires sur leur armes. Tous commencèrent a s'allonger sur leur lit et Mickel dit:

VOILA LES MECS L AVENTURE EST LANCÉE , je vous paies tous a boire

Après la joyeuse présentation du commando américain, qui à part sa nationalité n'avait pas l'air d'avoir de défaut, en effet, il aimait le cigare et la vodka (rare pour les américains qui préfèrent en général le bon vieux scotch). Parlaoupariski éspèrait qu'il aimait aussi Patricia Kaas et Jean-Claude Van Damme!
Donc les présentations terminées, Alexeï se leva et dit:

Moi j'ai déjà Vodka!,dit il avec une voix alcoolisée,mais j'apprrécie le geste!
Sinon camarrades, où se trrouve la cantine?

A la fin de sa question, il entamma la fabuleuse chanson de Sebasto: la cantine!

Messages : 528 Date d'inscription : 27/12/2008 Age : 29

Le Major Dwesza arriva dans la pièce un sac kaki à la main et un autre sac noir sur le dos, ce dernier renfermait le fameux CA-08, l'arme par excellence du Major, ainsi que la M-14 une seconde arme qu'il maniait avec adresse et précision. Le Ca-08 est un dérivé du Ca-36, la version élite du fusil d'assaut qui peut s'utiliser avec ou sans lunette.
Voyant ses trois camarades déjà installés, il s'installa a son tour et déposa ses sacs près d'un lit encore libre, il en sortit ses deux armes fétiche en pièces détachées et les posa par terre près de son lit. Puis il sortit du sac kaki tous ses vêtement et sous-vêtements, civils ou combat, et les rangea dans la petite commode prévue a cet effet.
Une fois son premier sac vidé, il entama le second, celui-ci était a moitié rempli d'équipements militaires tels que charges explosives, chargeurs pour Ca-08 et m14, culasses, filet camouflage etc... la seconde moitié du sac était remplie de cadeaux de sa famille, de photos de sa femme et de ses enfants et le nécessaire de toilette ainsi que deux ou trois autres gadgets divers ...
Une fois ses affaires rangées il se tourna vers ses camarades avec qui il devrait faire ses futures missions et leur adressa la parole :

Salut les gars !Un petit moment de silence suivit ... ses camarades le fixaient sans bouger ...Ben quoi, vous avez jamais vu quelqu'un ranger ses affaires ?! Bon laissez tomber, je m'appelle Daniel Dwesza, j'étais major dans l'armée Polonaise avant mais comme il l'a dit on recommence a zéro, donc pas de distinction de grade, du coup vous pouvez m'appeler Daniel. Mais je préfère mettre les points sur les I maintenant, je n'accepterais pas des réflexions du type "Sale Polak" ou autre, sinon c'est mon poing dans sa gueulle.
Pour le réfectoire c'est au fond du couloir côté gauche je crois, mais je pense que tu devrais te dessaouler un peu avant de t'y présenter.

Le Major était un homme assez grand d'un mètre quatre-vingts, les cheveux d'un brun foncé très noir, une musculature plutôt banale mais assez d'intelligence pour placer ses coups aux endroits sensibles de ses adversaires, imbattable en endurance il pouvait courir dix a quinze kilomètres avant de s'arrêter. Il a un grain de peau pâle sur le torse mais bronzé sur les bras et les jambes. La seule chose qu'il craint c'est sa mère qui lorsqu'il était petit lui mettait des fessées jusqu'à pu soif. Roi dans l'art du camouflage il sait se faire discret et peut ainsi passer inaperçu alors que son ennemi est a moins de cinq mètres c'est pourquoi l'effet de surprise n'a pas de secrets pour lui.
Et puis comme tout Polonais qui se respecte la Vodka pure c'est tout ! (il en sortit d'ailleur une bouteille de son second sac ainsi que les petits verres qui vont avec il en sortit un pour chacun de ses camarades)

Nazdrowie les amis !

Messages : 719 Date d'inscription : 07/09/2008 Age : 36 Localisation : Calais

Un petit sourire faisait son apparition sur le visage de Rom quand il entendit le mot Vodka. Comme ses compagnons, il avait emporté avec lui son stock personnel, composé de Vodka et de divers alcools.
Puis, Alexeï commença a parler de la cantine. Pour Rom, cantine rime avec cuisinière! Il se mit donc à penser à ses femmes toutes surement plus belles les unes que les autres...

Daniel se présenta à son tour, qui apparemment désirait jouer au dur a cuir dès le début, espérant impressionné les plus faibles recrues. Roman regarda donc ce soldat, d'allure plus que banal ranger ses affaires calmement comme un enfant de peur de se faire gronder par sa maman.

Puis il se retourna vers son camarade russe avec une petite idée en tête...

Hey, viens, on va essayer de trouver la cantine.... dit-il en sautant de son lit et en laçant ses Rangers. Par contre, s'il y a une blonde, c'est pour moi, et si y'en a deux.........pareil, je te laisserai seulement les brunes.

Rom se regarda dans le miroir accroché sur la porte de son armoire, réajusta le col de sa veste et fit signe de la tête à Alexeï

Par contre pour éviter tout ennui, il vaut mieux ne pas croiser le Major, il a pas l'air commode ce gars la... Roman regarda a gauche et droite de la porte si personne n'arrivait, afin de pouvoir faire cette petite escapade tranquillement.

Allez viens, et prends ta bouteille de Vodka si les femmes on soif !

La petite chanson de l'ex-colonel fut troublé par l'arrivée d'un énergumen qui se présenta. Une racaille polonaise, Alexeï ne pouvait pas les sentir, tout d'abord parce qu'ils sont sortis du bloc de l'Est et ensuite car son nez était bouché.
Il s'approcha du Polak avec un certains dédain puis arrivé à 50 centimètres de lui, il cracha une huitre par terre.
Puis un barratin à la sauce ruskov sortit de la bouche de l'ex-colonel, certainement pas pour souhaiter la bienvenue à Dwesza.
Le décors était planté, les premières hostilités étaient lancées.

Pour finir, Alexeï sortit dehors en disant:

Il faut bien des bouffons dans une équipe, des bizu, heurreusement on a Dwesza!

Puis le russe sortit et attendit calmement dehors l'arrivée de Swarf ( pour annoncer l'heure du repas!)

Messages : 528 Date d'inscription : 27/12/2008 Age : 29

Les hostilités avaient dors et déjà commencé, a peine une dizaine d'heures après le début de l'aventure. Daniel encaissa "l'huitre" de l'ex-colonel avec ranqueur mais aussi son baratin qu'il avait réussi a traduire grâce a son expérience au sein de leur "mère patrie".
Il avait beau ne pas montrer sa haine envers ce Russe frustré mais il voyait déjà le type d'homme qu'étais Parlaoupariski.

Herdwann faisait les comptes mentalement, sans dire un mot, dévisageant les autres. Son teint était redevenu blanc.

"Alors, un autre Français, sniper, qui s'appelle aussi Roman...super... Ensuite, un Russe...commando de première ligne, ça."

Par "commando de première ligne", les FAS désignaient les troupes combattant au corps-à-corps ou presque. Ce genre d'hommes était mal considéré par Herdwann et ses camarades, qui préféraient les combat à distance, dans lesquels ils faisaient les meilleurs "scores" avec un minimum de pertes, et dont ils pouvaient facilement se dégager.

"Un amerloque. Bruyant, bien partit pour être comme cul et chemise avec le Russe... Et un Polonais."

Le sous-capitaine sourit intérieurement.

"Buveurs, fumeurs, hommes à femmes: bien des faiblesses. Et en plus, je dois leur paraître insignifiant. C'est parfait."

Il remarquait aussi que hormis "Rom", qui n'avait pas donné son grade, tous les autres étaient des officiers de commandement.

"Ça finira en bagarre pour savoir qui commande... Ça, je le sens bien. Quel bonheur de ne pas être officier à part entière...tout du moins à leurs yeux."

L'un des traits caractéristiques des FAS était aussi d'être très réfractaires au contact avec les non-membres des FAS, et d'aimer critiquer ces autres hommes.

Sans un mot, Herdwann se leva de son lit où il s'était rassit, vérifia d'un coup d'œil que ses lacets étaient bien faits, et saluant les autres d'un signe de tête et d'un grognement qui pouvait facilement passer pour un timide "allons-y", il se faufila par l'entrée du dortoir, et sortit du bâtiment, cherchant des yeux le Major Swarf, qui les attendaient très certainement à l'entrée du mess. Dans le même temps, il cherchait la pancarte signalant la cantine, au cas où l'officier serait déjà à l'intérieur. A défaut, il suivrait le groupe de ses compagnons d'arme, qu'il entendait dans le couloir.

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

_ "toc" Bordel qu'est ce qu'ils foutent ?! "toc" Je leur avais dit de choisir leur lit "toc" et de me rejoindre direct ! Ils ont p'têt pas faim alors ! "toc"
Aller...c'est parce qu'ils arrivent. "toc"

Swarf arrêta de lancer sa balle de caoutchouc noir contre le mur, puis la remit lentement dans sa poche, il prit direction des dortoirs en ayant l'allure de base.
Quand il arriva, les recrues se sentaient déjà comme chez elles, l'air de rien, comme si c'était la fête ! Sauf que non...

_Oh vous foutez quoi là ? Je vous avais dis de me rejoindre dans une heure, autrement dit y'a vingt minutes ! Putain vous me refaites un coup comme ça et je vous éclate vos joujoux de pacotilles, c'est compris ? J'espère bien parce que j'ai pas envie d'aller en taule pour coups portés sur personne fragile !
Il reprit un ton "un peu" plus calme, et leur dit en faisant un geste de bras: Bah si vous avez faim c'est par là, habituez vous à vous démerder parce que moi je suis pas votre guide touristique, on me paye pas pour vous dessiner des plans des lieux ! Ce soir c'est purée saucisses eau pain fromage fruit et rien d'autre, ceux qui demandent une ration supplémentaire vont voir ma main droite de très prés, alors mangez et fermez là, ici vous n'êtes pas chez vous !
Après la bouffe vous irez direct au lit, demain on se lève à 4h, et 4h10 en tenue en train de s'échauffer sur le terrain.

Bon appétit !

Il ressortit sa balle de la poche et se remit à la lancer contre le mur en marmonnant des choses incompréhensibles, et ne salua même pas ses supérieurs qui passaient à côté de lui, lui aussi des fois risquait de se prendre des claques !

Messages : 719 Date d'inscription : 07/09/2008 Age : 36 Localisation : Calais

Roman avait entendu l'arrivée de son supérieur hiérarchique grace au bruit qu'il faisait avec sa balle.
Swarf arriva, et péta un petit câble, il désirait sans doute montré qui est le chef, ce qui avait le don d'énerver Rom'.

Regardez le avec sa petite balle, on dirait un gamin en manque d'affection qui fait mumuse avec la balle du chien du voisin, pensa-t-il. Tu veux éclater mes joujoux, vas y je t'en prit, marmona-t-il avec un petit rictus...

Bon allez les mecs, moi j'ai faim, et je n'ai toujours pas vu la tronche de ces satanés cuisinières, en route !

Roman Ridalmodo sortit donc le premier, il n'avait pas manger depuis plus d'un jour, et tout ce qui été au menu était pour lui un véritable festin.

Debout a 4h, bordel c'est faire une grasse matinée a cette heure, sa change des vrais camps d'entrainements, se dit-il tout en se dirigeant vers la cantine.

Enfin demain je vais pouvoir savoir ce qu'ils ont dans le ventre, entre le grand gaillard russe, le nimbo francais qui porté le même prénom que lui, et le polonais qui semblait tout juste sortir de l'adolescence, qui avait encore du lait au bout de son nez !

Ahaha, vivement de lui, s'exclama Rom, je sens que je vais bien m'amuser...

C'est sur ces quelques mots que Roman arriva à la cantine ou il alla chercher sa ration et s'installer à la première table, tout en regardant les officiers se goinfrer entre eux.

Herdwann avait vu le major avancer vers les dortoirs, et était revenu vers ceux-ci en suivant le major. En arrivant, il avait entendu Swarf fulminer. Le voyant désigner la direction du mess, il s'y dirigea, sans écouter plus le major.

"Tu gueule, tu gueule, c'est tout ce que tu sais faire..."

Traînant les pieds, il arriva lentement dans la salle, et vit que l'autre français du groupe était déjà là, en train de se faire servir. Herdwann passa devant les cantiniers à la suite de Ridalmodo, puis son repas sur son plateau, il alla s'asseoir près des chariots des plateaux sales. Il avala son repas à toute allure, sans dire un mot et sans accorder un regard à qui que ce soit, puis posa son plateau dans le chariot le plus proche.

Sitôt après, il se leva, quitta le mess, se dirigeant vers les dortoirs. Il traînait à nouveau les pieds, fit un détour par les toilettes, et s'arrêta avant d'entrer dans le bâtiment. Regardant le ciel déjà noir et étoilé, il sentit son cœur se serrer.

"Putain, pourquoi j'ai accepté cette mission ? Les FAS ont pas besoin de cette merde ! On est suffisamment efficaces et bien renseignés, bon sang."

- Va chier, va...

Ce disant, il pensait au Maréchal des FAS, leur commandant-en-chef, qui lui avait proposé cette mission. Même si cet officier était très apprécié, voire même aimé, il prenait parfois des décisions que ses hommes n'aimaient pas, quand bien même cela s'avérait toujours payant pour les FAS.
Puis il se rappela soudain avec force comment il était entré dans les FAS...il revoyait le visage de sa petite sœur, aujourd'hui morte, auquel succédait l'étreinte de son père lorsqu'il avait décidé de rejoindre le corps d'élite par esprit de vengeance. Une larme coula sur sa joue gauche. Et un sourire sauvage lui succéda soudain, au souvenir du massacre qu'il avait fait seul, contre les meurtriers et violeurs. Son officier de mission n'avait même pas eu besoin de le couvrir: tous les FAS avaient été touchés par la mort de sa petite soeur: après tout, leur grand-père, Christian Darlon, avait été général à l'état-major du Maréchal, et leur père, Jean Herdwann, avait lui commandé la neuvième division de parachutistes...

Au loin, à l'horizon, une lueur rouge éclata soudain... un bombardement, sans doute.
Interrompant ses réflexions, Herdwann entra dans les dortoirs, revêtit un pyjama, et se coucha direct, fixant l'alarme de sa montre sur trois heures.

"Et tant pis si ça réveille les autres..."

Il se tourna sur le côté, sans savoir si quelqu'un d'autre était déjà là, remonta sa couverture jusqu'à l'épaule, et s'endormit aussitôt profondément...

Après l'ennuyeuse intervention de "Swarfy", comme s'amusait à le surnommer Parlaoupariski, le russe se décida à suivre les autres au réfectoire. Sur le chemin, Alexeï pensait à la façon dont il pourrait dépouiller Swarf, en effet, bien que le russe soit loyal il serait ravi de faire la peau à cette raclure de Swarf après la mission, voir même pendant!
Pour l'instant celui que Parlaoupariski préférait dans cette équipe, c'était la montagne française, "sûrement élévé en plein air!" pour avoir grandit comme cela. En effet ce dernier amusait Alexeï, il avait du tempérament, pas une de ces tapettes de polonais comme Dwesza!

Bref, en arrivant dans cette fameuse cantine et après avoir pris son plateau avec cette bouffe inmangeable, il s'assit à une table, tout seul. Il prit dans sa poche son baladeur CD ( Le russe préférait ces derniers aux MP3 et MP4) puis y glissa son CD de Patricia Kaas.
Après avoir terminer sa bouillie, faites d'ingrédients dont personne ne connaissait la provenance, Parlaoupariski repartit en direction des dortoirs. Mais n'ayant pas rangé son plateau repas, un jeune militaire l'interpella:

Le plateau faut le ranger! Pas fait pour les chiens le tapis roulant!

Avec un grand sourire, le russe prit son plateau, s'approcha délicatemment du soldat et lui cala ce fameux plateau en pleine face! Le choc cassa le plateau et assoma le jeune soldat.

Toujourrs envie de fairre chier le monde? Interrogea le russe.

En arrivant dans le dortoir, il vit Herdwann déjà dans son lit. Avant de dormir, Parlaoupariski faisait toujours ses 100 pompes, et ce n'est pas le sommeil d'Herdwann qui dérangerait le russe...

Messages : 528 Date d'inscription : 27/12/2008 Age : 29

Dwesza Vit ses camarades partir les uns après les autres, plus ou moins bruyamment, plus ou moins dérangeant. Lui continuait a manger tranquillement sans un mot, juste en observant le décor, la cantine, ses camarades. Il se familiarisait avec le lieu musique aux oreilles, et oui il ne se déplaçait jamais sans son I**d.
Une fois son repas terminé il se leva, débarrassa son plateau, toujours aussi détendu, alla dans le dortoir, prit ses équipements (son Ca-36, son gilet tactique etc...) et décida d'aller s'entrainer au tir histoire de ne pas perdre la main.
Il était alors dans les environs de 21h30.

"Ah la fraîcheur du soir. Rien de tel pour s'entrainer, tranquillement."

En effet le Major aimait se retrouver seul avec son Arme, Son I**d et la fraîcheur du soir accompagnée d'un beau coucher de soleil à l'horizon.
Une heure plus tard il rangea ses equipements car le soleil s'était couché et il retourna au dortoir, toujours avec son I**d aux oreilles.

Bon les gars. Bonne nuit ! Faites de beaux rêves.Dit-il avec un sourire aux lèvres. puis il reprit :
Mais vous couchez pas trop tard les enfants !Toujours le sourire aux lèvres. Même si son humour était un peu décalé il disait ça dans le but de détendre l'atmosphère. Il régla ensuite son réveil puis s'allongea dans son lit de "bidasse" certes peu confortable mais c'est mieux que dehors, par terre.

Messages : 460 Date d'inscription : 04/12/2008 Age : 29 Localisation : vannes

Mickel finissait de manger quand tout le monde commençais a partir,il se retrouva seul sur sa table en mangeant sont liégeois au chocolat, puis il alla débarrasser son plateau repas, quand il fut sortit du mess il fit un petit jogging sur le campement pour se repérer et se détendre. Il repéra Dwesza entrain de s'entrainer au tir et il continua sa course jusqu'à ce que l'air se refroidi. Arrivé au dortoir il pris sa douche et alla se coucher. Avant de s'endormir il s'écria :

quelle bonne journée les mecs, et bonne nuit a tous le monde,j'espère que l'on vas s'amuser, ce qui est dommage c'est que m'ont ne sait toujours pas pourquoi on est la.

il n'eut aucune réponse et il repris :

demain je vous propose un petit concours celui qui va le plus vite au parcours du combattant, ça vous dit?

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

_Debout les morts ! Vous avez 2minutes top chrono pour vous foutre en tenue et aller courir dehors, rien à foutre qu'il pleuve, on vous à pas demandé de venir pour pleurer la pluie !
Pour commencer la journée, vous me ferez 5 tours de l'enceinte, soit environ 15km, vous avez 20minutes pour tout faire.
Ensuite vous viendrez me piocher des boussoles sur la table que voici. Il fit signe du doigt, une petit table blanche dehors devant la porte de la cantine.
Sur ces boussoles vous avez un azimut de noté avec un point de coordonnée, suivez le et vous tomberez sur vos cartes, sur celles-ci vous aurez le privilège de voir tracé votre chemin pour cette prochaine semaine ! Eh oui, vous avez une semaine pour parcourir le chemin indiqué !

Un soldat qui se tenait aux côtés de Swarf lui chuchota à l'oreille quelques paroles, et Swarf reprit: En fait, vous avez 2 jours ! Hahaha ça devient drôle non ? Votre niveau devrait vous le permettre, enfin si j'en crois vos vantardises !
Swarf leva son bras gauche pour y regarder l'heure, 00h03, un peu plus tôt que prévu...

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

[HRP --->

[Camp d'entrainement]

---> Première partie de galipettes pour les petits loosers !

_Lieu: Un peut partout
_Temps estimé: 2jours
_Perso' RP présents: Ridalmodo; Woolsey; Dwesza; Parlaoupariski; Herdwann
_Actions des joueurs: Course d'orientation sur 2journées.

Formez 2 groupes, un de 3 et un de 2 (débrouillez-vous pour qui va avec qui).
N'oubliez pas que vous êtes des humains et non des surhommes alors prenez des pauses, buvez etc... La nourriture n'est pas fournie, alors montrez moi vos talents de chasseurs (soyez réalistes aussi là dessus, on ne tue pas un sanglier avec un coup de bâton sur la tête, et une entaille de couteau dans la jambe !).
_Le parcours indiqué sur la carte vous fait faire une boucle (vous revenez donc à la base à la fin du parcours) et vous avez environ 200km à marcher (comment ça c'est beaucoup pour 2jours ? --> Vous n'êtes pas obligé de réussir ! N'oubliez pas que vous êtes des humains et non des surhommes ! )

Le matériel que vous avez le droit d'avoir sur vous --> couteau, fil de pêche/hameçon, boussole et carte(fournie après votre course) une gourde d'1/2 Litre, casquette/chapeau, sifflet, paire de jumelles.

Aller go !

<--- Fin HRP ]

Herdwann jeta un regard assassin à Swarf, tandis qu'il rejetait ses drap et qu'il revêtait l'un de ses uniformes vert-de-gris, et mettait ses bottes noires et une casquette de la même couleur que l'uniforme.
Ce regard, il n'était pas tant dû à l'heure de réveil qu'à la différence entre cette heure et celle annoncée le jour précédent. Herdwann n'avait eu aucun problème pour se réveiller: son entraînement de FAS l'avait habitué à se contenter de peu de repos, voire pas du tout pendant un certain temps. Il avait ainsi ouvert les yeux dès que les pas du major avaient retentis dans le dortoir. Non, en fait, il détestait les surprises; encore un trait commun aux FAS, qui aimaient tout contrôler, et surtout leurs horaires. Être surpris, pour un FAS, équivalait presque à mourir: il fallait savoir réagir vite et bien.

Une fois habillé, il sortit et se mit à courir, en grommelant:

- 15 kilomètres en 20 minutes, il sait que ça fait du 45 km/h ? Putain, même à la course au cent mètres, les athlètes n'ont jamais atteint du 40 !

Au bout de 20 minutes, Herdwann avait fait un peu plus de 5 kilomètres, sa moyenne oscillant entre 15 et 20 km/h: il avait visiblement estimé que ce n'était pas la peine de se fouler pour ce truc de dingue.

Rapidement, il revint au dortoir, et attacha à sa ceinture noire son couteau de combat de trente centimètres et une gourde en acier. Il s'approcha de la table, et prit sans dire un mot l'une des boussoles. Il ressortit rapidement, et se dépêcha d'aller chercher sa carte. Une fois qu'elle fut trouvée, il l'ouvrit et s'appuya contre un mur.

"200 kilomètres en deux jours... 'Faudrait une moyenne de 4 km/h... C'est donc faisable, en théorie. Mais si jamais l'un des autres vient s'accrocher à moi..."

Herdwann décida alors de partir immédiatement, sans attendre. Il enclencha un décompte de quarante-huit heures sur sa montre, et se mit à trottiner à la même allure que sur le terrain, vers le premier check-point géographique de la carte: un pont situé à une vingtaine de kilomètres. L'épreuve, cette fois-ci au moins, était réalisable. Pour le groupe, c'était à qui le rejoindrait en premier...

Messages : 460 Date d'inscription : 04/12/2008 Age : 29 Localisation : vannes

Après le petit speach a la c** de Swarf tout le monde s'activaient sauf Mickel , il dit a tout le monde :

Le mec il essaie de faire son chef... son beau gosse tu parle il pourrai même pas faire le quart de ce que l'on vas faire ces deux prochain jour j'en suis sur.

Regardant les autres se dépêché il se leva tranquillement, pris sa douche pénard, mit sa tenu de militaire et serra ses ranger puis il prit son kevlar et sa casquette fétiche avec le drapeau américain, et son sac remplit d'équipement de survie (couteau, fil de pêche avec hameçon, boussole une gourde d'1/2 Litre, sifflet, une paire de jumelles et de son sac de couchage.) et il sortit du dortoir. Dehors il posa son sac, et commença a faire ses tour de campement pour lui ce n'était que du plaisir, comme il l'avait fait la veille au soir.

Au bout de vingt minute il avait fait a peu prés la moitié de ce qu'il aurait du faire, il avait couru environ 7.5 km .

Ses tour fini il pris sa boussole et se dirigea vers le point de départ ou il allait y trouver la carte pour l'excursion. Arrivé au point de départ , il sortit sa gourde prit la carte et chercha un endroit a l'ombre pour s'asseoir, il fit ses besoin et retourna la ou était le point de départ. il y trouva Herdwann adossé a un mur, mickel lui demanda :

on fait équipe alors ... je sens que sa va être une bonne aventure.

Mickel s'adossa au même mur que Herdwann et ils se mirent en route, ils ne voulaient pas perdre de temps en attendant les autres. Sur le chemin ils partagèrent certaine de leur aventure.

Messages : 528 Date d'inscription : 27/12/2008 Age : 29

Dwesza se leva, toujours a son allure, se prépara, mis son débardeur camouflage forêt, son pantalon militaire (camouflage fôret) et ses ranger (lacets bien serrés). Il fît ensuite son sac et y mit, couteau ou plutôt dague : une magnifique dague gravée à son nom avec un manche en ivoire, c'était un cadeau de son père qui lui même l'avait reçu de son père : il mit aussi dans son sac une ficelle d'une matière très solide mais en même temps très fine, une gourde d'un litre renforcée et isotherme, un sac de couchage, et un petit kit de secours comprenant ; un désinfectant, des compresses et une bande adhésive. Une fois son barda prêt il sortit du dortoir, croisa par la même occasion Herdwann et Woolsey en train de finir leur course et se préparer au départ et commença son petit échauffement de 20 minutes.

"Allez top chrono. 20 minutes c'est tout. Pas se fouler et garder son énergie pour le parcours dans la foret. Ça va me défouler de ce conn*** de Swarf."

Durant son footing il planifia son parcours et les éventuels problèmes qu'il pouvait rencontrer ainsi que ses partenaires. Il était hors de question qu'il fasse équipe avec l'ex-communiste car il savit qu'aucun des deux ne pourraient se retenir en cas de conflit. et au bout de 10 minutes il cria a Woolsey et Herdwann :

Euh ! Les gars !Expira, Inspira, repris :Je peux faire équipe avec vous ? Vu que le communiste ne m'aime pas et c'est réciproque je pense qu'il vaudrait mieux que je fasse équipe avec vous !Expira, Inspira, attendis un moment, et repris :Ben réfléchissez SVP Merci !

Messages : 460 Date d'inscription : 04/12/2008 Age : 29 Localisation : vannes

mickel vit arriver le polak Dwesa et il dit a Herdwann :

t'as vu qui arrive notre "très chère amie"... je suis sur qu'il veut être avec nous car il a réussi a nous rattraper.Il voulais surement pas être avec son nouvel ami l'ex-communiste qui aime quasi personne(les polaks, les américains,...)

mickel se mit a rire puis il s'arrêta quand Dwesa arriva a son auteur.Dwesa lui demanda, et mickel par pitié accepta car il ne voulais pas que tout cela finissent en baston .

Messages : 1072 Date d'inscription : 09/06/2008

Une fois les consignes données et déjà des soldats partis, Swarf prit direction de sa chambre pour passer un coup de fil à sa femme et par la même occasion, prendre une bonne douche ! Avant de partir à l'action c'est toujours mieux de se sentir propre et bien dans son corps !
En même temps...une odeur d'aftershave aux côtés de 5 hommes puants la sueur c'est toujours une bonne chose ! M'enfin...nous verrons tout cela dans un peu moins de 2 jours.